Classé dans : journal
Moi je ne sais rien. Je me laisse porter. Je sens les premières morsures de l’hiver et je constate juste que J. n’est plus là. Et j’entends encore sa voix chaude et posée me dire « d’accueillir le froid ». Et puis tant d’autres choses encore .
Et maintenant, marcher sur les feuilles mortes, les faire sonner sous les pas. Savoir gré à l’existence de vous faire rencontrer des gens formidables, tenir la promesse d’une rencontre et dépasser les horizons peureux et bornés, car la « vie est plus large que ça ».
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